Se faire une idée précise du vaste monde des imprimantes d’étiquettes adhésives n’est pas de tout repos. Néanmoins, trouver le bon modèle d’étiqueteuse autocollante a un impact direct sur la réduction des coûts d’approvisionnement et sur l’efficacité de votre travail (et donc sur votre productivité).

Types d’imprimantes d’étiquettes autocollantes

Selon leur technologie d’impression, il existe 3 types de machines à étiquettes adhésives :

• Les modèles à transfert thermique
• Les modèles à transfert thermique direct ;
• Les modèles numériques (laser et jet d’encre).

Comment savoir quelle imprimante d’étiquettes convient le mieux à votre travail quotidien ? Il y a 3 questions à se poser :

• Quelles tâches les étiquettes doivent-elles accomplir (avertissements, gestion des stocks, commandes et expéditions, étiquettes de produits…) ?
• Quel est le cycle de vie des étiquettes adhésives (permanent, temporaire, à moyen terme…) ?
• Sur quels matériaux les étiquettes doivent-elles être apposées (palettes électriques, simples palettes en carton, à coins arrondis ou biseautés, étiquettes pour petits produits…) ?

Chacun des trois types d’étiqueteuses adhésives mentionnés (transfert thermique, thermique direct et numérique) présente des caractéristiques techniques, des avantages et des faiblesses qui le rendent préférable pour des tâches et des objectifs spécifiques.

La plateforme etiquette-autocollante.com propose divers modèles de l’appareil à l’instar de l’Epson 6000. Vous pouvez appeler le 01.40.53.01.27 si vous avez besoin d’une imprimante spécifique pour équiper votre entreprise.

Types d’étiquettes adhésives et de matériaux d’impression

Bien qu’il s’agisse d’un paysage complexe, voici quelques points de référence sur les matériaux et les applications les plus courants des principaux types d’étiquettes adhésives :

• Le papier vélin : le plus populaire, et le moins cher puisqu’il est composé uniquement de papier non couché.
• Papier couché : le plus fin de tous les supports papier, car il permet une reproduction des couleurs plus lumineuse et un rendu des couleurs considérable. Elles conviennent particulièrement à l’archivage de documents, à l’emballage et à l’identification de produits.
• Papier thermique : support d’étiquette caractérisé par une couche supérieure de papier non couché et, pour cette raison, économique, très sensible aux températures élevées et aux frottements.
• Papier thermique protégé : contrairement au papier thermique seul, les étiquettes de ce type comportent deux couches protectrices sur la surface supérieure, qui protègent ainsi le code-barres ou tout autre contenu imprimé contre des agents atmosphériques externes, tels que la lumière directe, la chaleur et les frottements ;
• En polypropylène : ce matériau synthétique, transparent ou blanc, offre des avantages spécifiques par rapport au papier vélin et est généralement considéré comme une alternative viable (non polluante) au PVC.
• Polyester (pour les imprimantes à transfert thermique, principalement pour le format Desktop) : autre matière plastique synthétique. Son point fort est donc d’offrir des normes élevées de résistance du contenu imprimé sur les étiquettes, ainsi que des graphiques de qualité qui ne s’effacent pas.
• PVC (transfert thermique) : le meilleur matériau lorsqu’il s’agit d’étiqueter des matériaux ou des produits qui doivent rester exposés aux conditions extérieures : résistance garantie aux agents atmosphériques (eau, chaleur jusqu’à environ 80°-100°, lumière, froid, humidité, etc.) et aux rayons UV.